Que puis-je faire pour aider à préserver le Grand Ours?

J’ai eu l’immense chance d’aller visiter la région du Grand Ours le mois dernier en compagnie d’un groupe de sympathisants du Fonds mondial pour la nature. J’y suis allée en qualité de photographe (le rêve) et je crois bien que toutes les personnes présentes ont à un moment ou un autre posé la question suivante : que puis-je faire pour aider à préserver la zone marine du grand Ours? Disons d’emblée que la région est fabuleuse de beauté et de diversité, mais elle est également indispensable à la qualité de notre environnement, à notre économie, à ses habitants. Le WWF-Canada déploie de considérables efforts à la protection de la vitalité de cet écosystème, et collabore avec les Premières Nations de la Côte à informer les citoyens à travers le Canada de la valeur de cet écosystème précieux, de la recherche qui s’y fait sur les impacts de la pollution sonore dans les océans sur les espèces marines, et des partenariats avec les collectivités locales pour assurer la conservation des estuaires et des cours d’eau de la région.

Grizzly dans le Grand Ours_2991-600x285Un grizzly déguste son saumon, bien installé dans les eaux fraîches de Khutze Inlet. © Steph Morgan

La question que nous nous sommes tous posée est tout ce qu’il y a de plus pertinente, et opportune. Que peut-on faire pour aider à préserver la région du Grand Ours?
Nul besoin d’avoir sillonné l’extraordinaire côte nord de la Colombie-Britannique pour aider le WWF-Canada à poursuivre son action dans cette région. Et de fait, nous pouvons tous faire un petit quelque chose. Avec notre carte de crédit, par exemple. Je ne parle pas ici de faire un don par carte de crédit (mais rien ne vous en empêche!), mais de demander la carte
Master Card BMO® WWF-Canada ®*. Utilisez cette carte – elle est sans frais – et BMO versera un pourcentage de vos achats au WWF-Canada. Vous en apprendrez davantage sur ce programme ici. Voilà un geste simple et néanmoins conséquent, qui soutiendra l’action indispensable du WWF-Canada en conservation de nos écosystèmes, notamment celui de la région du Grand Ours.
Je pourrais vous écrire des pages et des pages de raisons de contribuer à la conservation du Grand Ours simplement en vous racontant par le menu l’incroyable aventure que j’ai vécue dans cette région féérique, qui a ébloui l’environnementaliste en moi, mais également la simple citoyenne. Mais comme dit l’adage, une image vaut mille mots, alors voici quelques-unes de mes photos préférées de ce voyage. Chacun y verra quelque chose de différent. Pour moi, ces photos parlent du cycle de la nature qu’il faut préserver dans cette région, de la tranquillité et de la sérénité qui y règnent – et qui sont de plus en plus difficiles à trouver sur notre planète – et la beauté qui se dégage de la vie qui y foisonne.

Ours noir dans Great Bear_26101Un ours noir emporte sa prise pour aller la manger tranquillement dans la forêt pluviale. © Steph Morgan

Saumon en décomposition dans le Great Bear_28251Saumon en décomposition sur le tapis forestier, qui en absorbera les nutriments et nourrira la végétation environnante. © Steph Morgan

Rorqual dans le Great Bear_2085Un rorqual à bosse fait l’acrobate et replonge la bedaine à l’air pour montrer ses belles nageoires pectorales,
près de Hartley Bay. © Steph Morgan

Vie dans le Great Bear_2148Dans la forêt pluviale du Grand Ours, la vie est partout. On voit ici des gouttelettes d’eau qu’absorberont les
mousses couvrant un grand arbre au bord d’un cours d’eau. © Steph Morgan

Saumon dans le Great Bear_2419Un saumon rose se démène pour remonter le courant et aller frayer à son tour dans le cours d’eau qui l’a vu naître.
© Steph Morgan

Le travail que mène le WWF-Canada en conservation, notamment dans la région du Grand Ours, est soutenu par des fonds générés dans le cadre de programmes tels que la carte d’affinité BMO WWF-Canada.  Demandez la carte Master Card BMO WWF-Canada AIR MILES®†  et gagnez 1 mille aérien par tranche de 20 $ d’achats portés à votre carte. Vous avez déjà la carte? Nous vous remercions de soutenir l’action du Fonds mondial pour la nature chez nous ici, et chez nous ailleurs sur la planète.